Cette parodie au theâtre des pressés
Ce carnaval éternel jamais clôturé
Cette lourdeur des discours aux mots glacés
Dignes des paroles des élégants enfoirés
Ces écris des auteurs souvent bien poussés
Des noms qui s’haïssent, mais jamais séparés
ces tonnes de chef-d’œuvres sur des toiles froissées
Ces images froides et ces idées trop carrées
Ces chansons-vacarmes aux parôles à blesser
Pour un goût aussi bas, des particitions préparées
A la course des trophets personne n’est pressée
Un prix pour chacun dans la meme soirée
Moi, l’écroché vif nostalgique du passé
Pourquoi m’accrocher aux valeurs entérrées ?!
Morad